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Mecanisme a engrenage de l'essuie-glace electrique


Mis sous tension par action sur le commutateur 2, le moteur électrique 1 communique un mouvement rectiligne alternatif à la barre 3 actionnant les balais et l'essuie-glace par l'intermédiaire d'un réducteur constitué par une vis sans fin 4 et une roue tangente 5 dont l'axe porte la manivelle 6 actionnant la barre 3. Le moteur électrique 1 est réuni au réducteur à vis sans fin 4 - 5 par un accouplement centrifuge dont le principe de fonctionnement est le suivant : le solénoïde 7, mis en circuit en même temps que le moteur électrique 1, attire le cylindre de déclenchement 8 en surmontant la résistance du ressort 9. Le demi-manchon menant 10, solidaire de l'arbre de moteur, possède un crochet a qui, après que le moteur lancé atteint une vitesse de rotation déterminée, s'écarte sous l'action d'une force centrifuge et accroche la saillie 8 du demi-manchon mené il lié a l'arbre de la vis sans fin 4. Un tel agencement permet de soustraire le système à une surcharge due à un courant de démarrage élevé et de faciliter la mise en mouvement des balais de l'essuie-glace par utilisation de l'inertie de rotation du moteur 1. L'arrêt des balais dans une même position est assuré par l'interrupteur de fin de course 12. Après que le débranchement de l'essuie-glace est commandé par action sur le commutateur 2, les contacts de l’interrupteur de fin de course 12 continuent à alimenter le moteur 1 et le solénoïde 7 Jusqu'à ce que la saillie 1 de la manivelle 6 repousse la broche isolante 13 et ouvre les contacts de l'interrupteur de fin de course 12 en coupant le courant du solénoïde 7. Le ressort 9 fait reculer le cylindre de déclenchement 8 dont la saillie d sépare le crochet a du demi-manchon menant 10 d'avec le demi-manchon mené 11. Le réducteur 4 - 5 s'arrête, de. même que les balais de l'essuie-glace. Un coupe-circuit à fusible 14 est monté en amont du commutateur 2 d'essuie-glace. Le réglage de vitesse du moteur 1 est réalisé en insérant une résistance additionnelle 15 soit dans le circuit de l'enroulement d'excitation (position I), soit dans le circuit rotorique (position II).


Formules pratiques des lois electriques et mecaniques


Grandeurs et unités de mesure
Courant à charge nominale des moteurs asynchrones
Formules électriques
Calcul des résistances de démarrage
Formules mécaniques
Formules fondamentales
Les régimes de neutre
Entraînement des machines
Tables de conversion entre unités usuelles

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Programmateur Cyclique Economique


Pratiquer l'électronique consiste quelquefois à modifier ou à adapter un circuit électronique existant pour un usage auquel il n'était pas initialement prévu. En utilisant astucieusement la fonction d'alarme d'un petit réveil de voyage bon marché, il est aisé de réaliser la mise en route d'un processus quelconque.

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Mecanisme du detecteur electromagnetique des defauts de rails



Cet appareil sert à contrôler les rails de chemin de fer. On met sur le rail à contrôler a la bobine détectrice mobile 1, et par-dessus celle-ci, la bobine d'aimantation 2 alimentée en courant continu. Le noyau 3 ferme le circuit magnétique. Si le rail a n'a pas de défauts, le mouvement uniforme de la bobine détectrice 1 liée au galvanomètre 4 ne provoque aucune déviation de l'aiguille de ce dernier. En présence de criques ou cavités dans le corps du rail, l'aiguille dévie ; on peut localiser le défaut et apprécier son importance d'après la déviation de l'aiguille.


Mecanisme du milliamperemetre


Lorsqu'on ferme la clé 1, le courant électrique parcourant la bobine de l'électro-aimant 2 fait naître un champ magnétique dont les lignes de force à l'intérieur de la bobine 2 sont dirigées à l'opposé de celles de l'aimant permanent 3. L'addition algébrique des lignes de force des deux champs fait que l'aimant 3 tourne autour de son axe A dans le sens horaire avec l'aiguille a de l'instrument immobilisée sur l'aimant 3. Si l'on inverse le courant dans la bobine 2, les lignes de force du champ interne de la bobine changent de sens tandis que celles de l'aimant permanent 3 restent sans changement. L'aimant 3 tourne donc dans le sens antihoraire avec l'aiguille a. L'écart de l'aiguille a par rapport au trait zéro est d'autant plus marqué que l'interaction des champs magnétiques de la bobine 2 et de l'aimant 3 est plus forte, c'est-à-dire que l'intensité de courant de la bobine 2 est plus élevée.
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